Pendant longtemps, on l’a nommé « extrême-onction » et donné avec les « derniers sacrements » (le pardon, la communion et le sacrement des malades). Il n’était donc reçu qu’en fin de vie et s’est trouvé associé à la mort, au point d’inquiéter les malades à qui on le proposait.
Le Concile Vatican II a préféré le désigner par l’expression « onction des malades » et a renouvelé sa pratique pour qu’il accompagne vraiment un chrétien malade ou souffrant au long de sa vie, à chaque fois que cela sera jugé nécessaire. Il peut en fait être proposé à différentes périodes de la vie :
- quand une personne apprend qu’elle est atteinte d’une maladie grave.
- quand la maladie devient trop dure à supporter.
- quand une souffrance morale devient trop lourde.
- au moment de la vieillesse quand la vie devient plus fragile.
Pour recevoir le sacrement des malades: contactez le Père Alphonse Horo .